Twitter continue de faire peur à beaucoup de dirigeants français mais ceux qui l’utilisent y voient un formidable outil de communication et une façon irremplaçable d’élargir leur réseau au-delà de leur écosystème.
Image par mohamed Hassan de Pixabay
Début mai, Elon Musk, le plus incontrôlable des « patrons-twittos », acceptait de soumettre ses messages à venir sur la plate-forme à un avocat expérimenté en matières financière et réglementaire aux termes d’un accord douloureusement conclu avec la SEC – l’autorité américaine des marchés financiers. Cette solution radicale faisait suite à son tweet du 7 août 2018 dans lequel il annonçait son intention de retirer Tesla de la Bourse dès que l’action atteindrait 420 dollars.
« Les financements nécessaires sont sécurisés », assurait alors le dirigeant sur son fil, faisant significativement grimper la cote et la valorisation de la société. Accusé par la SEC d’avoir trompé les investisseurs, Elon Musk y perdit son titre de président du conseil d’administration et la bagatelle de 20 millions de dollars d’amende.
En fallait-il plus pour rappeler aux dirigeants du monde entier les risques d’un gazouillement intempestif ? Un peu plus de treize ans après son lancement à San Francisco par Jack Dorsey, le réseau fait encore peur à beaucoup de patrons, notamment en France. Lire la suite dans Les Echos