JOURNALISTE ENVIRONNEMENT, UN MÉTIER PARTICULIÈREMENT DANGEREUX

Le Comité pour la protection des journalistes indique que depuis dix ans, un minimum de treize reporters ont été tué·es en raison de leurs enquêtes sur l’environnement.

 

On connaissait les risques encourus par les journalistes en zone de conflit. Dorénavant, il faut reconnaître que les spécialistes des questions environnementales sensibles, traitant par exemple de la destruction d’espaces naturels, sont également particulièrement exposé·es. Ces thématiques sont même devenues le deuxième domaine du journalisme le plus dangereux, derrière le reportage de guerre. Lire la suite dans Slate.fr

Articles récents…

influence-agence-300x168 (2)

INFLUENCES SE RENFORCE AVEC L’ARRIVÉE DE DEUX CONSULTANTS

 Hélène Détolle et Philippe Vogel rejoignent Influences   Hèlène Detolle, Consultante senior, aura pour mission de gérer les comptes clients du pôle Affaires publiques. Juriste...
O2 logo-new-o2-bleu-corpo

O2 CHOISIT INFLUENCES

O2, leader des services à la personne et marque phare du groupe Oui Care, confie à l’agence Influences ses relations médias O2 est leader des services...
AGENCES ACTIVES-AFNOR-etoile-1

INFLUENCES LABELISEE RSE AGENCES ACTIVES

Ce 5 juillet 2023, la commission de certification de l'AFNOR a décidé de labéliser Influences "RSE agences Actives". Ce label "RSE Agences Actives" est réservé aux...