Une étude signée par Patrick Fissler, chercheur en neurologie à l’université d’Ulm, démontre que le puzzle «pourrait, à long terme, être bénéfique au cerveau».
C’est un passe-temps transgénérationnel dont les bénéfices n’avaient pas encore été étudiés par la science, selon Patrick Fissler, chercheur en neurologie à l’université d’Ulm (Allemagne) et auteur d’une étude visant à réparer cette lacune. «La réalisation de puzzles engage de multiples compétences cognitives et pourrait, à long terme, être bénéfique au cerveau», écrit-il dans la revue Frontiers in Aging Neuroscience. Lire la suite dans Le Figaro
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